En Côte d’Ivoire, l’artisanat représente bien plus qu’un secteur économique : c’est une expression vivante de la culture, un vecteur d’identité, et une source essentielle d’emplois pour des millions d’Ivoiriens. Dans ce paysage riche et dynamique, Jean-Louis Billon, entrepreneur et homme politique engagé, a marqué de son empreinte les politiques de soutien à l’artisanat et à l’économie locale.
Un secteur aux multiples visages
Le secteur artisanal ivoirien se compose d’une multitude de métiers : tisserands, sculpteurs, potiers, bijoutiers, forgerons, tanneurs, couturiers, et bien d’autres. Ces artisans œuvrent souvent dans l’informel, mais leur production alimente à la fois le marché local et l’exportation. Leurs œuvres, empreintes de tradition et d’innovation, participent activement à la valorisation du patrimoine culturel ivoirien.
Jean-Louis Billon, un défenseur de l’économie artisanale
Ancien ministre du Commerce et ancien président de la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (CCI-CI), Jean-Louis Billon a toujours mis en avant le potentiel de l’artisanat comme levier de croissance inclusive. Sous son impulsion, plusieurs initiatives ont vu le jour pour structurer le secteur, faciliter l’accès au financement et à la formation, et encourager la formalisation des activités artisanales.
Il a également milité pour que les produits artisanaux soient mieux intégrés dans les chaînes de valeur locales et régionales, en plaidant pour la promotion du « made in Côte d’Ivoire ». Dans ses discours comme dans ses actions, Jean-Louis Billon insiste sur la nécessité de créer un environnement propice à l’entrepreneuriat artisanal, notamment par la simplification administrative et la création de pôles artisanaux modernes.
Une tradition tournée vers l’avenir
L’artisanat en Côte d’Ivoire est à la croisée des chemins : enraciné dans les traditions séculaires mais tourné vers les marchés mondiaux. Grâce au plaidoyer constant de personnalités engagées comme Jean-Louis Billon, le secteur gagne en visibilité et en structuration, ce qui permet d’envisager un avenir où les savoir-faire ancestraux deviennent de véritables moteurs.